mardi 25 janvier 2011

Histoire X

Francis.

Je rentrais de congés, j’avais écourté mon séjour à cause du mauvais temps qui sévissait depuis plusieurs jours. Quitte à m’ennuyer, autant le faire chez moi. Mon chien manifestait depuis un petit moment l’envie de soulager un besoin naturel. Je stoppais sur une aire de repos et je le laissais se détendre.
Il n’y avait que deux ou trois camions garés, aux rideaux fermés, les chauffeurs devaient sûrement se reposer, un espace et un vieux break Volvo.
J’avais trouvé une table de pique-nique abritée du vent et au soleil. Mon chien avait rencontré un compagnon de jeu, un jeune terrier tout fou et les deux animaux s’en donnaient à cœur joie. Je les regardais tout en fumant une cigarette. Je présumais que le camarade de jeu de mon chien devait appartenir à un des routiers.
J’ai sursauté en entendant une voix grave me demander si le basset était à moi. Je me retournais pour me trouver nez à nez avec un homme, assez grand, engoncé dans un blouson en peau retournée, un bonnet enfoncé jusqu’aux yeux de la même couleur beige que son gros pull à col roulé. Je ne pouvais voir de lui que ses yeux très noirs et une barbe très courte qui grisait les joues.
- Oui, il est à moi, et l’autre? C’est votre chien?
- Non, du tout. Il était là quand je me suis arrêté pour me reposer.
L’homme avait un joli sourire, aux dents blanches, qui ressortait sur la peau mate et le petit bouc noir qu’il portait. Il se posa sans façons à côté de moi sur le banc. Il faisait la petite quarantaine sportive.
- Je vous offre une cigarette? Dit-il en me tendant son paquet de Camel.
- Volontiers, merci.
- Moi, c’est Francis.
- Benoît. Enchanté Francis.
Il me serra la main. Je remarquais que la sienne était large et forte, ombrée de poils noirs. Il avait une bonne poigne, franche et forte.
- Vous rentrez du ski?
- Non, je reviens de vacances sur la côte d’Azur, mais il y fait un temps pourri alors je rentre chez moi.
- Moi aussi, j’en viens mais pas pour le plaisir, j’y avais une mission. Vrai que la météo est affreuse là-bas.
- Vous faites quoi?
- Je suis photographe free-lance, je faisais un travail pour une société d’autoroute qui rénove son réseau pour attirer des investisseurs, tout ça. Vous êtes de Bordeaux?
- Oui.
- J’espère que je vous dérange pas, mais j’avais envie de parler, je suis seul dans cette bagnole depuis des heures.
- Je suis comme vous et parler à un humain c’est toujours mieux qu’à un chien, sans conteste.
Je frissonnais sous une bourrasque de vent glacial.
- Putain! Ça caille grave!
- Oui, je vais partir, merci pour la clope Francis.
- Bonne route et à bientôt qui sait?
- Qui sait?
J’appelais mon chien et je démarrais. Francis était toujours assis et il me fît un signe de la main quand je passais devant lui. Le vent se levait et de gros nuages gris clair bouchaient maintenant le ciel à l’horizon.
J’approchais de Toulouse quand la neige commença à tomber.
Au début, ce n’était pas méchant mais au fur et à mesure que je roulais, la chaussée devenait de plus en plus glissante. La circulation devenait difficile, au point de s’arrêter à cause d’un camion en travers, non loin de moi. Il neigeait maintenant beaucoup. Je décidais de quitter l’autoroute pour me diriger vers un de ces hôtels automatiques que je voyais non loin. J’y parvenais avec difficultés et je descendais pour prendre une chambre. J’obtenais la dernière disponible avec ma carte de crédit. L’afficheur annonça complet après ma transaction.
Je déchargeais mon sac quand je vis le break Volvo de Francis glisser sur le parking et stopper contre une murette. Il descendit en râlant et me reconnu. Je le rejoins.
- L’hôtel est complet.
- Merde! Qu’est ce que je vais faire? J’ai déjà failli me planter 20 fois sur cette foutue neige. Vous pouvez encore rouler Vous?
- J’ai pris la dernière chambre disponible.
- Cette chance!
- Ecoutez, je crois qu’elle a deux lits, si vous ne ronflez pas, je vous invite à la partager.
Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai proposé ça, moi qui suis plutôt d’un naturel sauvage, voire peu sociable.
- Tope-là! C’est vendu. Le repas de ce soir est pour moi, j’y tiens pour vous remercier.
- D’accord.
On a monté les bagages dans la chambre. Moi mon sac et mon chien, lui une montagne de valises en acier contenant ses appareils de photo et un sac de voyage.
La chambre avait bien deux lits, mais un seul était pour adultes, l’autre était un lit pliant pour enfant.
- Il va falloir faire couche commune.
Francis fît un clin d’œil.
- Promis, je ne ronfle pas.
On est descendu manger dans la salle de restaurant qui était pleine à craquer, tous des naufragés de la route. Le service était lent et débordé et ça nous a laissé le temps de faire connaissance autour d’une bouteille de rouge. Il faisait chaud et il avait relevé ses manches, laissant voir des avant-bras forts et couverts de poils.
Il parlait de tout et de rien, souriait beaucoup, et versait souvent du vin dans mon verre. En fait le repas fût très agréable, Francis étant un amusant compagnon de table et le « tu » était venu naturellement entre nous.
On a regagné la chambre un peu ivres après avoir fait pisser mon chien. J’ai demandé si je pouvais me doucher en premier et Francis s’installa sur le lit pour regarder la télé en attendant son tour. Puis il a pris ma place dans le minuscule cabinet de toilettes.
J’ai enfilé un tee-shirt et un slip propre pour me coucher.
Quand Francis est sorti de la salle de bain, j’ai eu choc. Il n’avait gardé qu’une serviette autour de la taille. Je n’avais jamais vu d’hommes aussi poilus. Il avait un véritable pelage noir qui couvrait le torse, le ventre. Son dos et ses épaules étaient aussi velus que le devant. Sa carrure sportive n’en faisait pas un singe mais je n’avais jamais observé une telle densité de poils sur des épaules.

Il s’allongea à mes côtés, sentant bon le savon et l’haleine fraîche.
- Tu regardes quoi?
- Rien de précis, je zappe au hasard.
- Ça te dirait un dernier verre?
- Au point où j’en suis, sers-moi ce que tu veux.
Il se releva pour aller explorer le minibar du frigo. Il en revint avec deux douzaines de mignonnettes, vodka, whisky et berger blanc. Il me tendait un flacon de whisky que je débouchais pour le boire directement au goulot
- Hé ben quelle descente!
- Ouais! Je crois bien avoir exagéré ce soir.
- Bah! Tu conduis pas et c’est même pas dit qu’on puisse repartir demain matin.
Il zappait sur les canaux de la télévision par satellite de l’hôtel tout en parlant et il a fini par tomber sur un mauvais tarzan ou l’acteur semblait plus sortir d’un magazine de mode que du fin fond de la jungle.
Francis se mit à rigoler tout seul.
- Tu trouves ça crédible ça? Le gars est entièrement épilé! Comme s’il y avait des instituts de beauté dans la brousse africaine?
- C’est sûr que si tu avais été choisi pour ce rôle, il y aurait du boulot.
- Naaan, moi, je f’rais le singe plutôt! Il se leva sur le lit pour mimer un chimpanzé en criant.
- Tu le fais très bien, t’as même le déguisement qui va bien.
- Te fous pas de moi, j’ai fait un complexe pendant des années de mes poils.
- C’est vrai que t’es loupé de ce côté là. J’ai jamais vu ça avant. Mais tu es né comme ça?
- Bien sûr ma mère me nourrissait de bananes dans les baobabs.
- Mais non, c’est pas ce que je veux dire, c’est pas suite à une maladie ou un traitement, un truc du genre.
- Que du naturel mon bon monsieur!
- Tu es de quelles origines?
- Espagnol, mon vrai prénom est Francisco.
Il s’assit en tailleur sur le lit. La serviette écartée sur ses jambes croisées dévoilait un sexe brun et imposant. Il contrastait sur le blanc du tissu éponge. Je l’imitais et prenais la même pose face à lui.
- Je peux être indiscret?
- Vas-y. Si ça me dérange, je te le dirais.
- Ça te gêne pas? Ça gratte pas?
- Je vais te dire un secret. Je passe un après shampooing sur le corps, sinon, c’est du véritable  crin. Tiens, touche là, tu vas voir.
Il me désignait le torse, entre les pectoraux, où la pilosité était fournie et l’épaule où les poils suivaient l’arrondi des muscles. J’avançais ma main pour y poser le revers. Le contact fut surprenant, c’était relativement doux, je touchais l’épaule du bout des doigts pour y trouver le même effet.
- Vas-y franco
- T’es pas un chien.
- Non, juste un homme.
Je trouvais troublant le fait de caresser un autre homme. Je passais ma main un peu partout sur son corps. Je rencontrais à un moment donné son téton qui était assez gros et dur.
Francis s’allongea sur le ventre à l’envers sur le lit. Ses fesses rebondies étiraient la serviette. Je flattais son dos.

- Arrêtes, c’est une zone sensible ça!
- Désolé.
- Alors? Ça te fait quel effet?
- C’est agréable en fait. C’est curieux quoi.
- En tout cas, tu as les mains douces, tu caresses très bien. Ta petite amie a de la chance.
- J’ai plus de petite amie pour le moment.
- Désolé. Tiens buvons un coup pour oublier notre célibat!
Il déboucha deux petites bouteilles de vodka et on les but cul sec. Je continuais machinalement à caresser son pelage sur le dos.
- Sais-tu que c’est très agréable ce que tu me fais à cet instant?
- Ha bon? Tu veux que je cesse?
- Au contraire.
Je continuais comme on flatte un enfant ou un chien. Il soupira en disant que je lui faisais un bien fou.
Je m’enhardissais alors à le masser légèrement. Il m’encouragea et déclara que j’avais des mains épatantes pour délasser. Je le frottais doucement, mes doigts écartant les poils à leurs passages. Finalement, je m’installais à califourchon pour parfaire mon travail. Je trouvais très sensuel le contact de mes mains sur son pelage, surtout au niveau des épaules et du haut du dos où le poil était incroyablement dru et fourni. Je descendais sur ses reins jusqu’à buter sur la serviette plusieurs fois. J’ai subitement eu envie de voir son cul. J’ai tiré sur la serviette et Francis me laissa faire. Je dévoilais un derrière étroit et rebondi, aux fesses fermes et velues comme le reste du corps, séparées par une raie sombre. Je poursuivais mon exploration manuelle. Son sexe était posé entre ses jambes. Je regardais ses couilles, lisses et brunes, qui cachaient à demi son sexe. Je flattais toujours sa croupe, agenouillé à hauteur des cuisses. Je ne pouvais pas détacher mon regard de son sexe. Il ne cessait de grossir au fur et à mesure que je continuais à œuvrer sur le cul. Un peu de liquide clair commençait à suinter du gland. Francis soupirait toujours la tête entre ses bras croisés. Je passais mes mains le long des cuisses et mes doigts frôlaient parfois le sexe durci ou tâtaient le velouté des couilles. Francis bandait carrément.

Je cessais mon manège pour m’asseoir, rouge et troublé d’avoir osé faire ces gestes. Francis releva la tête pour me regarder fixement.
- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris de faire ça.
- Je t’ai laissé faire, je te signale et j’ai trouvé ça vachement agréable.
Il se retourna complètement, exhibant son érection.
- On fait quoi maintenant? On prétend qu’il ne s’est rien passé ou on continue?
- Tu voudrais aller plus loin?
- Pourquoi pas? Autant ne pas mourir idiot et je suis en train de m’apercevoir que me faire caresser par un homme est un truc qui me fait bander grave et toi aussi si j’en juge par l’état de ton slip.
Je bandais comme un âne sans m’en apercevoir.
- Heu… tu veux que je te masse encore?
- Et si tu sortais tes vêtements? Tu serais pas plus à l’aise?
J’hésitais. Non pas parce que j’ai honte de mon corps ou qu’être nu me gêne, mais de là à me trouver dévêtu face à un homme chez qui je déclenchais un désir manifeste, il y avait un pas que j’avais des difficultés à franchir. Francis s’assit en tailleur face à moi, son sexe dressé le long de son ventre, atteignant le nombril.
- Soyons clairs. Tu bandes, je bande, autant se faire du bien.
- J’ai jamais avec un homme… fait ça, quoi!
- Moi non plus mais tu me donnes envie d’essayer ça.
Il se redressa à genoux et tira sur mon tee-shirt pour l’ôter. Je me laissais faire sans trop de résistances, je le reconnais. Il me caressa doucement le torse, suivant le tracé des muscles. Il posa la paume de la main sous mon sein gauche et me pinça délicatement le téton entre le pouce et l’index. Il se pencha en avant et posa sa bouche dessus. Il l’aspira délicatement et sa langue le titilla. Je fermais les yeux. Sa main avait trouvé mon autre sein et le serrait, puis sa bouche passa dessus à son tour. Ses mains me frôlaient plus qu’elles ne me caressaient. Je m’inclinais en arrière, appuyé sur mes bras, pour lui faciliter la tâche. Il posait ses lèvres un peu partout sur mon torse et mon cou. Je sentais sa langue qui parcourait mon corps pour le goûter. Il me coucha sur le dos et vint s’allonger sur moi. Il pesait de tout son poids sur moi. La sensation était vraiment différente de celle ressentie avec une femme. Francis était plus lourd, son corps ferme avait des muscles durs qui roulaient, ses poils me chatouillaient agréablement à travers le tissu de mon slip, je sentais son érection contre la mienne.
Il me demanda d’ouvrir les yeux. Il souriait, l’air amusé, en scrutant mon regard.
- Qui y a t-il?
- Rien. Je te regarde, c’est tout, je tiens à mémoriser cette première fois. Tu as le cœur qui cogne fort, je le sens contre ma poitrine.
- Je crois que j’ai un peu la trouille...
Il posa sa bouche sur la mienne. Un baiser léger mais résolu.
- Je ne sais pas si...
- Chut. Le mieux est de ne pas penser. Il faut juste profiter du moment, je crois bien.
- Oui, mais…
Il posa à nouveau sa bouche sur la mienne. Sa langue se fraya un passage entre mes lèvres pour s’enrouler autour de la mienne. Je fermais les yeux. Je sentais sa barbe drue piquer ma peau, son odeur masculine. Il tenait ma tête à deux mains, ne me laissant pas d’autres choix que de me faire embrasser. J’ai eu ce signal dans le ventre qui donne le départ de la recherche du plaisir sexuel. Nous nous sommes enlacés et j’ai commencé à le caresser, mais plus comme avant, cette fois c’était autant pour lui donner des sensations sensuelles que pour en ressentir aussi, sans cesser de s’embrasser.
Il recommença son exploration corporelle avec la langue. Il léchait mon torse, agaçait mes seins, insinuait sa langue dans le creux de mon nombril, testant mes points sensibles. Finalement, je sentais sa bouche contre mon sexe à travers le tissu. Doucement, il fit glisser le vêtement le long de mes jambes pour le jeter par terre. J’étais nu à mon tour. Je bandais à plein, décalotté. Francis posa ses lèvres sur mon sexe. Il le flattait en dardant sa langue. Il trouva le frein et joua avec, il contourna le gland en suivant la crête du bout de la langue. Il le prit dans la main pour l’observer et lécha d’un large coup de langue sur le gland le liquide clair qui en suintait. Il semblait en tester la saveur. Il releva la tête pour me sourire à nouveau puis il engloutit d’un coup ma queue. A quatre pattes devant moi, il suçait ma tige avec talent. Je regardais son crâne monter et descendre, ses épaules et son dos si poilus, je n’arrivais pas à croire que je me faisais sucer par un homme pareil et que j’y prenais du plaisir. Il jouait maintenant avec mon sexe, mes couilles, les prenant en bouche, les suçant, les titillant de la langue, tirant sur mon sexe pour me branler, puis recommençait à me sucer avec force. Je le prévins de ma jouissance imminente. Il relâcha ma queue et se mit à genoux devant moi. Il avait l’air satisfait de lui.
- Il est peut-être un peu trop tôt pour venir, non?
- C’est de ta faute.
- Comment ça?
- Tu me suçais comme si tu avais fait ça toute ta vie.
- Disons que j’ai un don certain pour l’imitation.
Il avança sur ses genoux alors que je m’adossais sur les oreillers. Il s’accroupit sur mes cuisses et me caressa la joue.
- Ça va?
- Oui.
- Tu veux un autre verre? Il reste encore des bouteilles.
- Ok.
On a débouché des fioles de Vodka qu’on a siroté lentement. Francis avait des gestes d’une surprenante tendresse que je n’arrivais à trouver ni déplacées ni opportunes. En fait, je ne savais pas quoi en faire.
Le poids de Francis sur mes cuisses commençait à les engourdir et je lui demandais de se sortir. Il se redressa et se pencha pour m’embrasser à nouveau puis il se releva. Je me retrouvais le visage face à son sexe, à quelques centimètres de moi. Je regardais la complexion du prépuce et la touffe de poils noirs qui ornaient cette queue. Je portais la main par en dessous. Bizarrement, je trouvais ses testicules frais et lourds. Francis approcha encore jusqu’à ce que son sexe touche ma bouche. L’invite était claire. Je respirais un grand coup et je le prenais en bouche. Je commençais à le sucer et sa queue gonfla. Plus ça allait et plus elle envahissait ma bouche. Francis se retira pour décalotter son gland. A peine sorti de son fourreau de peau, celui-ci prit toute sa taille. Il était gros comme un petit abricot, d’un rose pâle et brillant, terminant une queue large et veinée. Elle devait faire environ vingt ou vingt deux centimètres de longueur. Francis me prit par le menton et attira ma tête vers son sexe. J’ouvrais docilement la bouche et j’entamais mon travail de succion. J’aimais le soyeux du gland sur ma langue et la saveur, à peine fade, du liquide qui en coulait. Francis accompagnait, par des mouvements du bassin, mon travail de bouche. Il heurta plusieurs fois le fond de ma gorge, me provoquant un réflexe nauséeux parfois. Je me décontractais et je devenais capable de l’engloutir de plus en plus loin sans avoir de haut le cœur. Je voulais renforcer mon action avec ma main mais il les prit pour les poser sur ses fesses. Je me contentais de le sucer aussi fort qu’il me l’avait fait auparavant tout en caressant son cul duveteux. Maintenant ses couilles venaient heurter mon menton et je l’entendais gémir. Je pétrissais son cul et mes doigts finirent par glisser au milieu du buisson qui envahissait sa raie. Je les faisais courir le long quand je trouvais sa rondelle. Je posais mon index dessus et je le massais. Francis lâcha que c’était trop bon. Je sentais les effets conjugués de la vodka et de l’excitation ce qui me décida à me lâcher enfin. Je décidais de lui prodiguer ce que je savais me faire lors de mes plaisirs solitaires, utiliser mon doigt pour trouver ma prostate et jouir du cul. Je remplaçais sa queue par mon majeur pour le mouiller le plus possible puis je repris sa queue dans la bouche tout en fouissant son cul pour en retrouver l’orifice. Je glissais doucement le doigt entre ses chairs fermées. Francis gémissait tout en se tenant à ma tête. J’enfonçais le majeur aussi loin que possible et je commençais à tâter l’intérieur de Francis à la recherche de la prostate. Je la trouvais assez vite et je commençais à la masser doucement. Il poussa deux ou trois exclamations. Je sentais son anus avoir des spasmes et des frissons qui agitaient l’homme.
- Bon sang! Tu fais quoi, là?
- T’occupe et profite.
Je le repris entre mes lèvres et aspirais son gland qui heurta directement le fond de ma gorge. J’ai nettement senti son sexe gonfler au passage du premier jet de sperme qui gicla avec force, puis un autre et encore un autre. J’ai arrêté de compter au bout du quatrième, la source semblait inépuisable. Francis hurlait et je me branlais frénétiquement pour le rejoindre dans l’orgasme. J’explosais en lançant mon foutre sur les fesses de Francis et son dos. Je me vidais avec des flashs de lumière dans les yeux. Je n’avais jamais eu une telle intensité dans la jouissance. Je quittais le cul de Francis tout en avalant les dernières gouttes de sperme de sa queue. Je retombais en arrière. Alors, c’est moi, cette fois, qui ai pris sa tête pour l’embrasser, je voulais qu’il goûte le produit de sa jouissance dont je gardais la saveur dans ma bouche. Nos langues se sont mélangées. Francis vint se pelotonner sur moi. Je lui caressais tranquillement le dos, trouvant parfois du sperme de collé dans les poils. On est resté ainsi un grand moment, sans échanger un mot, juste en ayant des gestes de reconnaissance pour le plaisir obtenu.
Francis se leva d’un bond et enfila son jean.
- Tu fais quoi?
- Je vais à la réception.
- Pourquoi faire?
- Commander du champagne. Il faut fêter ça.
- Quoi donc?
- Ta première pipe!
Il passa son pull directement sur la peau et sorti en vitesse les pieds nus. Je regardais par la fenêtre, il neigeait toujours aussi fort. Il revint 5 minutes plus tard, portant triomphalement une bouteille et deux flûtes en plastique. Il a débouché le champagne et m’offrit le goulot pour boire. J’en prenais quelques gorgées et il m’imita. Il se déshabilla et s’allongea contre moi et servit deux verres. Il passa son bras autour de mes épaules et trinqua avec moi.
Je trouvais la situation bizarre mais pas inintéressante. Je regardais son corps solide et velu et son sexe qui était posé sur le buisson noir de sa toison pubienne.
- Benoît, j’ai pris un pied d’acier tout à l’heure, vraiment.
- Aussi curieux que ça puisse paraître, moi aussi, je ne pensais pas avoir autant de plaisir avec un mec.
- Ça ne t’a pas dérangé que je vienne comme ça.
- Non. Je vais me te dire que c’est ça qui a déclenché mon orgasme. C’est dingue quand j’y pense, j’ai joui parce que un homme venait dans ma bouche.
- Nous avons tous des pulsions homosexuelles, des fantasmes. Le truc c’est d’arriver à passer à l’acte.
- T’as déjà eu envie de te faire sodomiser?
- Oui. D’ailleurs tout à l’heure, ça m’a traversé l’esprit et puis je me suis laissé aller… et toi?
- Oui, souvent. Autant actif que passif.
- Une fois, j’ai regardé un porno hétéro où le gars se faisait enfiler un gode énorme dans le cul, j’ai trouvé ça bandant au possible.
- Oui mais quand je vois la taille de ta queue, je me dis que ça doit faire mal, non?
- La tienne n’est pas mal non plus et j’ai déjà sodomisé des femmes, elles ont pas souffert d’après ce qu’elles ont dit.
- T’as fait ça à des femmes?
- Deux ou trois fois. Et à chaque fois, je fermais les yeux pour m’imaginer avec un mec.
Je posais ma tête sur sa poitrine, les poils de son torse me chatouillaient la joue. Son téton se dressait au milieu de l’aréole en bordure du pectoral. Je le tripotais machinalement. Il durcit entre mes doigts, Francis grogna gentiment.
- C’est très érogène cet endroit chez moi.
- Et c’est pas le seul, j’en ai trouvé d’autres chez toi.
Je m’allongeais à plat ventre. Francis, redressé sur un coude, en profita pour me caresser le dos de sa grande main. Je me demandais si il allait trouver ma zone érogène. Il dissertait sur mon corps, commentant telle ou telle particularité physique : un grain de beauté, une cicatrice que j’ai sur les reins, souvenir d’une chute de vélo, le duvet de mes fesses, le grain de la peau et sa pâleur hivernale. Il passait sa main sur l’arrondi de mes fesses en ne gardant le contact qu’avec la pilosité et sans toucher la peau. C’était très sensuel au point que j’en avais des frissons. Il se hasarda à suivre du bout des doigts le sillon entre mes fesses, juste assez profondément pour en écarter les poils et toujours sans me toucher réellement. Il attrapa la bouteille de champagne et après avoir écarté mes fesses, il y fit couler entre quelques gouttes. Je suivais le parcours du liquide frais sur ma peau. Il reversa un peu plus d’alcool qui cette fois coula jusqu’à atteindre mon orifice. La sensation des bulles à cet endroit là me fit frémir légèrement. Il accentua l’espace entre mes fesses et versa encore du champagne. Le liquide jaune suivait le tracé de ma raie, mouillant mon trou et mes couilles. Il posa la bouteille.
- Tu aimes?
- Génial.
- Alors tu vas encore plus aimer ce que je vais te faire.
Il plongea entre mes fesses pour lécher le vin d’une langue agile et pointue. Par moment, il touchait mon orifice car il tenait ouvert mon cul pour pouvoir plus commodément récolter le liquide avec sa langue qu’il dardait partout le long de ma raie. Il remit un peu de champagne et là, il pointa la langue sur mon trou. Je la sentais tourner dessus ce qui me faisait vraiment vibrer. Il l’a enfoncée résolument et lentement. Le visage de Francis se plaquait entre mes fesses, sa barbe dure en piquait la peau plus tendre à cet endroit. Ses lèvres arrondies autour de mon anus, il enfouissait sa langue de plus en plus profondément. Je me suis surpris à gémir. Je le voulais encore plus au fond de moi et je dressais mon cul pour lui faciliter l’accès. Il comprit ce que je désirais et il étira mes fesses pour pouvoir entrer cette langue qui tournait à m’en rendre dingue. Il caressait maintenant l’intérieur et sentir cette organe étranger vibrer en moi me faisait littéralement tourner la tête. De temps en temps, il cessait son manège pour souffler sur les parties internes et humides, la sensation de frais qui s’en suivait contrastait avec la chaleur de sa bouche. Il remonta sur mon dos pour s’allonger à demi sur moi et chuchota dans mon oreille : « En veux-tu plus? » Je reprenais mes esprits et je n’osais penser à ce qu’il suggérait. Une partie de moi refusait cette idée, une autre, agitée par l’alcool et le sexe hurlait oui.
- Oui, j’en ai trop envie.
- J’espérais cette réponse.
Il redescendit sur mon dos en l’embrassant et recommença sa besogne avec la langue une fois arrivé au niveau de mon cul. Cette fois, il allait le plus loin possible en agrandissant les cercles qu’il faisait avec. Je sentais mon orifice se détendre, son travail de préparation était efficace.
Il se releva. Je l’entendis cracher. Il devait enduire son sexe de salive comme lubrifiant. Sa queue vient se poser contre mon orifice. Je fermais les yeux.



- Détends-toi, n’essaye pas de résister en te contractant sinon, tu auras mal, au contraire, pousses comme si tu voulais le faire ressortir, ok?
- Ok. Mais si j’ai trop mal, je te le dirais et tu arrêtes de suite.
- Promis.
Il s’arc-bouta sur les bras et commença à donner de petits coups de queue. Je sentais son sexe pénétrer lentement, écartant mes chairs un peu plus à chaque mouvement .Mon cul avait plus une sensation de gêne produite par ce corps étranger qui l’écartait qu’une réelle douleur. Francis donna un coup plus violent pour faire passer le gland au-delà du sphincter qui réagit en se contractant. Une peine subite irradia mon cul pendant quelques secondes, je serrais les dents pour ne pas crier. J’appliquais ses conseils en respirant profondément et en essayant de me détendre. Je demandais une pause et repris du champagne au goulot.
- Vas-y, recommence.
- Ok. Je vais faire lentement.
Je sentis la poussée continue de sa queue dans mon ventre. Mon cul me brûlait quand il débuta ses mouvements de va-et-vient, je n’avais aucune idée de la longueur qui avait réussi à rentrer en moi. A chaque coup, il me semblait qu’il pénétrait plus profondément car je sentais mes tripes s’écarter toujours un peu plus. Mon cul était en feu, je plongeais la tête dans l’oreiller pour le mordre.
Les signaux que m’envoyait mon cul se mélangeaient à ceux générés par ma libido me rendant confus et incapable de réfléchir. Une partie de mon cerveau m’alertait sur la douleur et l’impérieux besoin de la faire cesser, une autre était ravie de percevoir ce sexe qui battait en moi et continuait son exploration anale. Francis s’appuyait maintenant sur mes fesses. Je percevais nettement les poils pubiens contre ma peau et son sexe pulsant littéralement. Francis écarta mes fesses et donna un dernier coup de reins qui vrilla de douleur mon ventre. Il se laissa retomber sur moi et se cala au fond de mon cul en gigotant ses hanches. Je suivais le conseil de faire comme si je voulais expulser sa queue de moi et je poussais. J’ai eu moins mal assez rapidement et je continuais cet effort jusqu’à ce que je ne ressente presque plus rien. Francis m’écrasait de tout son poids. Ses jambes entouraient les miennes et son centre de gravité était son sexe. Soudain, je sentais mon ventre se relâcher totalement et la queue de Francis glisser encore plus loin.
- Là, ça y est, j’y suis.
- Putain oui, tu y es bien.
- Ça va? Tu supportes?
- J’ai eu très mal, mais c’est cool maintenant.
Mon cœur cognait, j’avais un curieux sentiment de plénitude en sentant cette queue en moi, comme un manque de comblé sans mauvais jeu de mots. Francis commença à me baiser. Gentiment au début, au fur et à mesure, je sentais mon cul se dilater et faciliter la pénétration. La queue coulait de mieux en mieux en moi et la douleur avait disparue. Je ressentais pleinement le contact de sa bite qui glissait le long de mes tripes. Francis me demanda de me relever et il me fit mettre sur mes genoux pour pouvoir venir se caler, légèrement plus bas, contre moi et recommença sa besogne. Il me soulevait à chaque coup de sa queue gonflée au maximum. Ses mains parcouraient mon torse et pinçaient mes seins ou descendaient sur mon sexe dressé et suintant. Soudain, j’ai un flash suivi d’un cours moment d’absence, comme un trou noir. Puis un autre, et encore d’autres. Quand je revenais à moi, je me surprenais en train de gémir ou de crier. J’étais en nage, la bouche ouverte pour chercher de l’air. Francis me donnait de véritables coups de butoirs et faisait claquer mes fesses à chaque mouvement. Il commencé à grogner de plus en plus fort, j’ai su qu’il allait jouir en moi. Je me concentrais sur mon cul pour profiter au mieux de cette nouvelle sensation qui s’annonçait. Il donna un coup plus violent que les autres, allant encore plus loin que les autres fois. Calé au fond de moi, il éjacula. Je sentais son sexe gonfler au passage du foutre, puis une sensation chaude se répandit en moi. Son sperme m’envahissait. Il recommença à me pilonner pour extraire les dernières gouttes de jus. Le sperme lubrifiant mon orifice, il sortait totalement et revenait avec force en moi. J’ai eu un flash encore plus intense et je me suis senti me vider sans même me toucher.
Il se retira pour s’asseoir sur ses pieds. Je me laissais tomber, épuisé, et ma tête échoua sur le flot de ma jouissance répandue sur l’oreiller. L’air entrait dans mon orifice grand ouvert me procurant un bien-être inattendu. Le sperme de Francis gouttait de mon cul, je le sentais nettement qui s’évacuait sans que je puisse le retenir.
Il s’allongea à mes côtés. Je tentais de reprendre mon souffle quand il vint me rouler une pelle.
- Je ne pensais qu’un cul de mec soit si bon.
- J’avais jamais joui comme ça.
- T’as hurlé, si t’as pas réveillé les voisins, c’est qu’ils sont morts.
- C’est vrai? Je me suis pas rendu compte, merde alors!
- Tu t’en fous après tout.
- Oui.
- T’as trouvé ça comment alors?
- Génial, j’y croyais pas au début, j’avais hyper mal et puis d’un coup, le total pied.
- T’as souffert beaucoup?
- Assez, mais je me vengerai, sois en sûr.
- Je ne demande qu’à voir ce que cela donne, vu le pied que tu as pris tout à l’heure…
- J’ai pas de points de comparaison, mais tu me sembles être un grand baiseur.
- Disons que j’étais en forme ce soir et que l’idée de baiser un homme m’excitait franchement. Je ne crois pas que je l’aurais fait sans avoir picolé.
- Pourtant, sur le parking, c’est toi qui m’a abordé et tu étais à jeun.
- C’est vrai ça! Bizarre comme truc, quand je t’ai vu, j’ai eu envie d’aller te parler, je ne sais pas pourquoi.
- Proposer de partager ma chambre à un inconnu n’est pas habituel chez moi.
- On fait jamais rien gratuitement.
- Tu as peut-être raison. Je ne sais pas.
L’alcool et le sexe ont eu raison de nous et on a fini par dormir.



Je me suis réveillé à cause du bruit de la douche. Francis est ressorti de la salle de bain, rasé de prés et propre. Il m’a tapoté le cul affectueusement pour me saluer. J’avais mal à la tête et au cul. Je me sentais sale et puant. Je me suis traîné sous la douche, histoire de reprendre figure humaine. J’ai jeté un œil par la fenêtre, il neigeait toujours. Les voitures étaient recouvertes de neige les rendant méconnaissables. Il me semblait clair que nous n’allions pas quitter l’hôtel de suite. Francis était allongé décontracté sur le lit quand je suis sorti de la douche. Il était à l’aise avec sa nudité.
Je me suis habillé en vitesse pour faire sortir le chien. Il faisait froid et le vent rabattait les flocons presque à l’horizontale. Je suis allé jusqu’à ma voiture pour récupérer sa nourriture qui était dans le coffre. Le chien s’est dégourdi les pattes sur le parking, sautant dans la neige fraîche, mais a vite manifesté l’envie de rentrer au chaud, ce qui m’arrangeait. Je suis passé au restaurant pour demander deux bols, pour le nourrir et lui donner à boire. Là, j’ai pris des nouvelles de la météo qui n’étaient pas encourageantes. Il était prévu ce temps exécrable jusqu’à demain soir. Ce qui signifiait que j’étais bloqué ici avec Francis pendant au moins 48 heures.
Je suis remonté dans la chambre. Francis m’attendait. J’ai expliqué que nous étions amener à partager le lit pendant au moins deux nuits encore. Il a eut l’air plutôt content. Nous sommes descendus prendre le petit déjeuner ensemble. La salle à manger était toujours bondée et le réceptionniste était désolé de ne pas pouvoir nous offrir de pain frais. L’hôtel vivait sur ses réserves et il devait nous rationner puisqu’il ne serait pas livré avant le déneigement. De toutes les façons, nous ne voulions que du café. Des parents regardaient par la fenêtre leurs enfants qui jouaient dehors. Ils faisaient un bonhomme de neige et quelques boules volaient de temps en temps, certaines s’écrasaient sur les vitres avec un bruit mat et sonore. La télévision montrait les images des autoroutes totalement bloquées par la neige et les centaines de véhicules pris au piège. Le commentateur expliquait que la remise en circulation des grands axes prendrait du temps, car il fallait dégager les voitures et les camions un par un. Des milliers de naufragés de la route avaient trouvé refuge, comme nous dans des hôtels pour les mieux lotis, ou des gymnases et chez l’habitant. L’armée se dévouait pour venir en aide à tout ces gens. Le phénomène météorologique était d’une ampleur jamais atteinte encore et surprenait tout le monde. Tout le grand sud de la France était enseveli sous la neige. On en reparlerait sûrement dans des années.
J’ai laissé Francis discuter avec des Marseillais qui espéraient pouvoir rentrer chez eux sous peu et je suis allé me promener sous la neige avec le chien. Le plus impressionnant était le silence absolu entre deux rafales de vent. Je suis rentré assez vite, car mes bottes n’étaient pas aussi étanches que je le croyais. J’ai regagné ma chambre. Francis m’y attendait avec l’air du gars qui une idée derrière la tête. Il était nu sur le lit et se touchait le sexe. L’invite était claire. De toutes les façons, à part regarder la télévision, il n y avait rien de mieux à faire. Je me suis déshabillé et je l’ai rejoint. Il a écarté les cuisses pour m’offrir son sexe à avaler. Je me suis appliqué tout particulièrement et je me suis donné vraiment à fond. Je n’ai pas tardé à l’entendre gémir. Il a sorti un petit paquet de beurre qu’il avait dérobé pendant le petit déjeuner et caché dans la table de nuit. Il l’a ouvert et m’a demandé de me mettre sur le dos et de relever mes jambes pour dégager mon cul. Il a enduit mon orifice avec le beurre, allant bien à l’intérieur puis il s’est penché sur moi et il m’a pénétré. Ainsi graissé, mon cul a absorbé son sexe facilement mais j’ai senti mes chairs qui s’écartaient trop brutalement pour ne pas avoir mal. J’avais les jambes contre ses cuisses et il les tenait ainsi bien ouvertes. Il me baisait comme une femme. Son sexe touchait facilement la prostate me procurant des décharges de plaisirs instantanés. Je ne sais pas si c’est la position ou la pénétration qui me plaisait le plus. Pendant tout le temps où il me baisait, je le regardais dans son effort, les veines de son cou dilatées, la sueur au front, les muscles bandés pour garder l’équilibre, je le trouvais beau. Il s’acharnait maintenant, me pilonnant vraiment avec de grands mouvements du bassin. Son ventre claquait contre mes fesses quand il s’enfonçait à fond en moi. Il m’a retourné pour me mettre à quatre pattes, et m’a re-baisé presque brutalement en me tenant par les hanches. Il a joui avec un grognement animal. Je sentais sa semence envahir mon ventre au rythme des pulsations de son sexe contre les parois de mon anus. Il ne s’est pas soucié de mon plaisir, même si j’en avais eu. Il s’est retiré en me donnant une petite claque sur les fesses, comme pour me remercier d’un service rendu. Il me dit juste que je ferais mieux d’aller me laver le cul. Son sexe était souillé d’un mélange immonde de beurre, de foutre et de merde. Je suis parti me doucher et il m’a rejoint sous l’eau. Nous nous sommes frottés mutuellement, J’ai débarrassé sa queue de la saleté et il a nettoyé avec douceur mon cul. Puis, il s’est agenouillé devant moi. Il m’a sucé avec art et gourmandise. Il engloutissait mon sexe jusqu’à avoir le nez dans ma toison pubienne, me faisant sentir son arrière gorge contre le gland. J’ai joui. Il est resté vissé sur mon sexe pendant que je déchargeais en avalant mes jets. Il a aspiré les dernières gouttes et s’est redressé tout sourire. Il a juste dit que c’était délicieux.

A SUIVRE