La pipe, ce régal pour l'amateur est en train de devenir une activité sexuelle sans saveurs. il faut dire que le bon suceur, le professionnel de la turlute est en train de disparaître . Si!si !
Le film porno y est pour beaucoup. Dorénavant, dans la quasi totalité de la production, la pipe se termine invariablement par une séance de branlette pour que le sucé puisse, enfin, jouir.
Remarquez, le même désolant cas de figure existe pour la sodomie. Nous l'évoquerons plus tard.
Il faut dire que tout doit se faire comme un genre de challenge sexuel. Il parait manifeste que démolir l'arrière gorge d'un mec est une preuve de virilité et non de maladresse. Sans gorge profonde, point de salut, sans avaler la bite toute entière point de reconnaissance comme bon suceur.
C'est idiot !
Donc, dorénavant, il faut se branler pour jouir dans une bouche gourmande, ou n'importe où ailleurs.
Quelle stupidité. Une bonne pipe doit amener le sucé à l'extase sans qu'il soit obliger d'intervenir en manuel pour cracher. Non, seul le travail de bouche et de langue doit provoquer l'orgasme.
L'éjaculation n'en sera que plus intense et le plaisir des deux protagonistes certains.
Jouir dans une bouche qui aspire comme si elle cherchait l'air nécessaire à la survie du suceur dans les couilles est d'une rare intensité.
Recevoir le jet de foutre au fond de la gorge est une gourmande récompense pour le travail accompli.
Et puis cela permet de comparer les hommes sur des critères autres que la taille de la bite.
Une queue de taille moyenne peut procurer en crachant une volupté au receveur incroyable en lui prodiguant un jus abondant et/ou d'une rare saveur . Autant de mecs autant de goûts différends.
Mais revenons avant la jouissance. Combien de mecs savent encore adapter leurs prestations buccales, en vitesse, intensité, force à l'excitation de leur amant ? Combien d'ailleurs osent encore avaler? Pourtant dans le cadre d'une relation exclusive et contrôlée cela fait partie du jeu érotique incontournable.
Bref, allez-y à fond !
